Chapitre 1
Alimer
Je me nomme Alimer, je suis née à l’époque des rois plus précisément le 27 avril 1774 dans Paris.
Je ne connu pas ma mère qui était morte en me donnant la vie. Mon père lui était médecin. J’ai été élevé par ma tante dés ma naissance. Elle voulais le meilleur pour moi et me paya des professeurs de lecture et d’écriture pour qu’un jour j’aille à l’école. Ce qui était relativement cher pour l’époque. Je faisais parti de la petite bourgeoisie et habitait un coin assez tranquille du coté de la bastille.
Un jour en allant cherché du pain je vie une émeute devant la boulangerie. Des femmes crièrent que le pays était mal dirigé et que le pain était trop cher. Soudain des hommes a chevaux déboulèrent et frappais les personne dans le rassemblements. La foule ce dispersa pour laisser apparaître le cadavre d’une femme. Les personnes qui courai dans tout les sens disais que le roi avait décidé de décimer son propre pays. Une femme me pris par la main et me disais de ne pas resté la si je ne voulait pas finir au cimetière. Je rentrai chez moi en pleurant d’avoir assisté à ce crime.
Le soir même ma tante m’annonçais que je ne devais plus sortir car la violence c’était installé à Paris. Le lendemain j’entendais le crieure dire qu’il fallait ramené la famille royale a Paris. Ma tante faisait un sac de provision quelle m’annonça quel partait pour quelque jours. Pendant sont absence je resterai chez mon père qui était de plus en plus pris a cause des violents hommes à chevaux qui semai la terreur.
Deux jours après le départ de ma tante mon père me réveilla pour me dire que je n’avais à présent plus de tante. Mon cœur se tordit de douleur. Après un instant je demandai en fin pourquoi et la réponse était celle dont je me doutai ma tante avait été tuer par les cavaliers du roi.
A cet instant je fut prit d’une rage incommensurable et me fit le serment de la venger. J’abandonnai l’école pour apprendre a me battre je fut reçu dans un petit groupe de personne qui voulait détrôné le roi. Un soir mon père ne revint pas à la maison j’avais compris que lui aussi avait été tuer. J’étais maintenant orphelin. J’allai prendre refuge à l’église. J’y demandai l’hospice et fut accueillit. La seule condition était d’apprendre la vie du Christ. Sa me parut une condition acceptable. Vu que je n’avait rien a faire da mes journées je lu entièrement la bible et l’apprise. Je croyais en dieu et lui adressait tout les jour la même prière : « Dieu donne moi la force et le courage de vengé tout les être chère que j’ai perdu » mais jamais il ne ment dona l’opportunité. Jusqu’au jour où j’entendit parlé de la révolution des centaine de personne c’était rassemblé et parlai de prendre la bastille pour prouvé au roi que le peuple ne serai pas éternellement passif. Je remerciais le ciel de me donner cette occasion de venger ma famille. Je pris une arme et allât me battre. Nous étions plusieurs centaine a déboulé des rue.
Aux moments où j’arrivai à la bastille le combat avait déjà commencé et je vis des vingtaines d’homme et de femme allongé mort. Je ramassait un fusils et couru droit dans le tas. J’éborgna un solda au visage et tua un de ces conjoins en tirant. L’homme que j’avais éborgné me pris la baïonnette des mains et me la planta dans le buste. A ce moment c’est comme si le temps c’était figé je me sentait tombé le sang ruisselant sur mes jambes mon assassin mon tomba dessus en poussant sont dernier souffle. La douleur était horrible mais je m’efforçai de ramper le plus loin possible de cette bataille.
En peut de temps je me retrouvait dans une petite ruelle avec de personne qui regardai les spectacle de leur fenêtre. Je vie une personne courir vers moi je vie ces lèvres bougé mais je ne l’entendais pas. La personne me mis sur sont dot et courut jusqu’a un hôpital vu que je n’avait que 15 ans je fut prit en priorité par les médecins. Je ne sentais plus la douleur. Je voyais les gents courir dans tout les sens autour de ma dépouille puis je sombrais dans le coma. A mon réveille je sentit une affreuse douleur au buste un médecin me dit que je n’avait pas beaucoup de chance de resté en vie car la blessure était trop importante pour être soigné. Ils m’avaient mi un énorme bandage autour de la taille pour freiné l’hémorragie.
Je demandai au médecin si je pouvais être transféré dans une chambre appart pour mourir. Ils me prit dans ces bras et m’emmena dans un étage désert il me déposa dans une chambre et mi dit adieu avant de s’éloigné pour retourné a ses patients.
Soudain je distinguai une silhouette qui approchait furtivement et un éclair la silhouette apparut devant moi. Je put distingué que c’était un garçon un peu plus jeune que moi les cheveux noir l’ancre. Il avais les yeux noirs et avais des dents extrêmement blanches et les canines très longues, le visage bien marqué et des muscle comme gravé dans du marbre. Il était pale et il était planté devant moi. Il engagea la conversation en me saluant. Sa voie était pure et cristalline. Il me demanda mon nom. Ce que je m’empressai de lui révélé. Sans que j’ai le temps de reparlé il me demanda mon age et ce que je faisais dans cette endroits. Je lui répondis que j’avais 15 ans et que j’avais été blaisé padan la prise de la bastille. Je remarquai qu’il fixai souvent ma blessure ensanglanté avec un regard affamé. Je lui dis aussi pourquoi j’étais allé me battre. Lui me racontais certain de ces voyages. C’était la première fois que je me sentais aussi bien avec une perssone. La discutions dura pendants quelque heurs. Mais j’avais perdu trop de sang pour rester en vit plus de temps. Je dut interrompre la discussion et lui demandé de partir car je voulait mourir seul. A l’instant où je lui annonçai sa il parut étonné je dut lui rappelé ma blessure. Il ce leva et resta quelque seconde sans bougé avant de se tourné vers moi. Il me dit que j’étais la seule personne avec qui il avait parlé autant et qu’il ne voulait pas me perdre.
Il me demanda si je voulais rester à ces coté pour toujours. Je lui répondit que sa aurai été un immense plaisir. A ce moment son visage s’éclairait et me révéla sa vraie nature et me mordis à la gorge. Peut après je sombrait dans le néant.
Au moment où je sortais de mon coma j’étais dans une grande chambre avec lui dressé devant mon lit avec un petit sourire en coin. Il me souhaita la bienvenue dans son manoir. Je lui demandai si j’étais devenu un vampire. Il me dit oui avec un hochement de tête. Il me prévint aussi qu’il allai me formé pour être un chasseur de la nuit hors paire. Je lui dis que j’étais prêt à être formé. Quand je regarda ma blessure je constatai quelle avait disparut. Il m’énonça alors tout les pouvoir q’un vampire possède : une vue parfaite, une régénération du corps très rapide voir instantané, une musculature importante, une force décuplé la beauté affiné…
Après cette explication de mes nouvelles capacités il me fit découvrir son domaine immense. La plus grande pièce était une immense bibliothèque. Il devait y avoir ici plusieurs milliers d’ouvrages. Il me montra ensuite l’extérieur sa demeure se trouvai à la lisière d’une immense foret. Il faisait jour et contrairement à certaine légende nous ne crénions pas le soleil. En se retournant il me dit que tout ce qu’il m’avais fait visité était mien.
Je n’en croyais pas mes oreilles moi qui ne possédait plus rien je me retrouvai propriétaire d’un immense manoir. Il m’annonça aussi que grâce à son passé nous étions détenteur d’une fortune gigantesque. Je nageais en plein rêve. En s’engagent dans la foret il me fis signe de le suivre ce que j’exécutait sans attendre. Je me sentait en sécurité dans cette forets ce qui n’aurai pas du être le cas car j’ai toujours eu peur des forets. Sans m’en rendre compte j’évitais tous les obstacles du chemin sans même les avoirs aperçu. Il me dit que maintenant grâce a mes réflexe je pouvais courir sans me soucié de la ou je m’était les pas. Mon odorat et mon houi aussi développés car je pouvait entendre des petits animaux bougé et sentir leurs odeurs.
Il me conseilla de rester dans cette foret jusqu'à ce que la nuit tombe pour que j’exploite mes nouveaux talents. Il ne resta pas avec moi mais me laissa comme consigne de revenir avant le levé du jour. Il partit en un éclair et je me retrouvais seul fasse à l’immensité de la foret. Bientôt la nuit tomba et c’est une lune pleine qui ce leva. La faim vin me rongé le ventre mais je n’avais jamais connu un appétit comme celui si.
Je sentis une douleur atroce à la mâchoire comme si on m’avait arraché les dents. Un goût de sang envahir ma bouche et en un instant je sentit 2 énorme chose sortir de ma gencive. Je lâcha un cri de douleur et cracha le contenu de ma bouche sur le sol 2 petites dents ce trouvais o milieu de la falque de sang. C’était mes canines qui venait d’être remplacé par d’autre beaucoup plus grandes, pointus et tranchantes.
J’avait a présent les outils essentiels d’un vampire. Mes sens prires le dessus et je me mi a traqué un cerf. Je ne me contrôlais plus. Je filais à travers la forêt évitant les arbres et les racines. A l’instant où ma cible rentra dans mon champ de vision je pillai sur place. Je me faufilai dans l’ombre des arbres jusqu'à n’être plus qu’a 5 mètres. L’animal ne m’avait toujours pas repéré. Je fit un bon impressionnent dans les airs avant d’atterrir face au cerf d’un mouvement je lui attrapait la tête et lui rompait le coup. L’animal s’écroula puis j’approchait ma bouche de sont coup et y planta mes dents pour boire sont sang. Une fois ma soif apaisée il faisait presque jour.
Je pris donc le chemin du manoir pour y retrouver mon nouveau frère. J’y fus en un rien de temps et mon sauveur était déjà là. Je lui fit un large sourire pour lui montré mes dents fraîchement accises.
Il me demanda si j’avais passé une bonne nuit sans attendre de réponses il m’invita dans ma nouvelle demeure. Nous empruntions le chemin inverse que la veille. Notre destination était l’immense bibliothèque. Une fois arrivée il me dit si je voulais être fort sa devait se passé aussi dans la tête. Il me conseilla quelques livres et alla lui-même en prendre un pour le lire. Je prit un des livre que l’on m’avait recommandé et alla m’assoire dans un fauteuil très confortable.
Le seul livre que j’avait lut jusqu’a présent c’était la bible! Le livre que je venais de commencer parlait de médecine avec les différents moyens de soigner de la grippe. En plein milieu du livre je remarquai que je ne respirait plus et que mon coeur c’était arrêté. Je courus prévenir Alucard qui resta tranquille. Il me dit juste que c’était normal car pour devenir un vampire il fallait mourir.
Rassuré je repris ma lecture. Pendant la journée j’avait du lire 5 livres ce qui est un exploits personnelle. La journée ce finissant je voulait a tout pris savoir ce que je j’allait faire pendant la nuit. J’allai donc voir Alucard qui ce trouvait devant une sale que je n’avais pas visité. Avant même que je ne lui demande il me dit que ma nuit allai ce passé dans cette sale inconnu. Il m’ouvrit les portes et je découvrais une immense sale d’arme.
Il devait y en avoir assez pour toute une armée. Il me demanda dans choisir une et de m’entraîné contre un des sacs suspendu au dessus du sol. Je me dirigeai vers un cimetaire fait d’or et d’argent avec des motifs tribaux gravés sur la lame. Quand je revins avec l’arme Alucard me complimenta pour mon choix avant de m’expliquer quels sont les moyens efficaces de désarmer un adversaire. Après quels que autres conseils il me demanda de m’entraîner sur l’un des sacs en forme d’humains. Arrivé devant le sac je tira mon arme et attaqua. Je couru verts lui puis effectua une glissade entre ces jambes. Je lui tranchai une jambe en passant. Une fois derrière mon adversaire je me remis debout et j’enfonçais mon sabre de toute sa longueur à l’emplacement du cœur. En retirant mon épées je coupa la tête du sac qui tomba par terre.
Alucard applaudissais et il me dit que j’allais maintenant combattre contre lui. Il prit une arme similaire a la mienne et vin ce posté devant moi. Il me rappela que ce n’était q’un entraînement avant de ce m’être en posture défensive. Je l’ansa l’offensive qu’il parât d’un simple jette. Je retentai encor mais il parât a nouveaux. Après une dizaine d’attaques identique je tentai une autre approche. Au moment ou je voulut lui porté un coup il me désarma d’un simple geste. Je reprit mon arme et retenta ma chance.
Au bout de 5 heurs à être désarmé je lui demandait de me donné des conseilles ce qu’il fit en m’expliquant tout en détails. Après une bonne demi heure de conseil nous reprenions le combat. Cette fois mon jeu de jambes était plus précis et mes attaques mieux ciblé mais encor une fois je me fis désarmé.
Il m’annonça que maintenant nous allions travailler les attaques discrètes. Pour sa il alluma une énorme lumière au milieu de la sal. Ce qui permit d’avoir plus d’ombre à l’endroit ou nous allions travailler. Dans un premier temps je le regardais faire ce que je devrais imiter. Il resta dans l’ombre d’un râtelier d’arme avant de foncer jusqu'au mur où il grimpa. Je découvrais que je pouvais serment moi aussi grimpé au mur. Il alla juste au-dessus du mannequin l’attrapât la tête lui tordit et jeta son corps sur un autre.
Il replaça les mannequins et me fit signe d’essayer. Je prit donc position puit couru vers le mur et mi agrippa je compensait a grimpé sur le mur et rampa sur le plafond jusqu'au mannequin mais au moment de le prendre par la tête je tomba dessus. Je ne retenta pas ma chance car le soleil venait de ce levé et il ni avait plus d’ombre.
J’alla me reposé dans la sale principale histoire de soufflé un peu et c’est a ce moment que je réalisa qu’il fallait que je me lave car la crasse commencé a ce sentir. Je me prit donc une bonne douche et ressortie prêt pour la suite de mon entraînement. J’allai dans la bibliothèque pour découvrir les mystères de ce monde. Je suivait les étagères et tomba sur un livre qui me donnât envi de le lire a tout pris. C’était un livre sur la magie noir. Dedans il y avait la description en détail de certains rites étranges. Un peut plus loin dans le livre il y avait des incantations. J’essayai dans prononcé une qui n’avait aucun résultat prédit.
A la fin de ma diction le sol commença a tourné et les meubles s’effaçait au fur et a mesure. Quand tout s’arrêta de tourné je me trouvai dans un espace sans début ni fin il ni avait ni sol ni plafond. Rien que du rouge partout. Pris de panique j’appela Alucard qui ne me répondais pas.
Je me calma et essayai de trouver des solutions. Une seul me vin a l’esprit c’était de récité la formule qui m’avait transféré dans ce lieu. Quand j’eu fini de récité le sol recommençait a tourné mais cette fois les meubles réapparaissait. Quand tout était revenu à sa place je couru raconté mon aventure a Alucard. Quand je lue trouvé je lui conta mon histoire et il me répondis non surpris que c’était juste des sorts pour vampires.
Heureux je lui demandai de m’apprendre cette magie. Ce qu’il accepta en me précisant qu’il était très doué pour lancer des sorts. Nous nous dirigions vers les bois pour l’entraînement. Il m’emmena dans une clairière écartée. Il ce plaça a un endroit ou il ni avait pas d’arbre et récita une incantation assez compliqué et très longue. L’incantation finie il y eu un flash éblouissant et un éclair vin frappé ces mains qu’il avait mis au dessus de lui. L’éclaire se sépara en une centaine de petits éclaires qui finissait par foudroyer le sol. Je fus subjugué. Quand il revint vers moi il fumait. Il paraissait épuisé et m’annonça que c’était un sort de dernier nivo pour toucher des dizaines de personnes.(La suite en cour)
Qui aime bien?